5 raisons de tester l’accrobranche avec vos enfants

A chaque week-end, chaque vacances, vous êtes à la recherche d’activités nouvelles pour vos enfants afin d’éviter qu’ils ne passent leur temps devant la télévision ? Si vous avez déjà épuisez vos ressources avec les sorties à la piscine, aux parcs de jeu ou les promenades en trottinette, il est temps de passer à la vitesse supérieure et de tester l’accrobranche. Vous pensiez que les parcours aventure dans les arbres n’étaient réservés qu’aux adultes ? Voici 5 bonnes raisons de tester l’accrobranche avec vos enfants !

Parce qu’on aime tous grimper aux arbres… surtout les enfants

Enfant, nous avons tous rêver d’une manière ou d’une autre de vivre un maximum d’aventure. Ainsi, toute promenade en forêt a assurément été l’occasion de construire des cabanes… et de grimper aux arbres. Faire découvrir l’accrobranche à vos enfants est donc l’opportunité de leur permettre de vivre cette aventure, de grimper aux sommets des arbres, de réaliser de nombreux agrès suspendus, de se jeter dans le vide, en toute sécurité il va de soi. Plus qu’une simple activité sportive, vos enfants vivrons une véritable aventure, se rêvant en Robin des Bois ou tout autre habitant légendaire de la forêt.

Parce que l’accrobranche permet à tous de se dépenser

Si vous n’avez jamais testé l’accrobranche, vous serez peut-être surpris, lors de votre première session, de découvrir à quel point cette activité peut être physique. Jambes et bras, l’ensemble des membres sont sollicité lorsqu’il s’agit de grimper à une échelle, de traverser un pont de singe et autres activités dans les arbres. Ainsi, à n’en pas douter vous découvrirez le plaisir des courbatures comme après une petite séance de sport. Mais vos enfants seront assurément ravis, se dépenseront comme il se doit avant une bonne soirée de repos.

Parce que c’est l’occasion de découvrir la faune et la flore de la forêt

Qui dit accrobranche dit évidemment forêt. Au-delà des parcours suspendus et des divers ateliers qui les ponctuent, de nombreux acteurs, à l’instar du parc accrobranche Parc des Loups, allient activité sportives et découverte de la nature. Il est ainsi possible, au grès des promenade en forêt au pied des parcours, et parfois même au fil des chemins suspendus, des étapes explicatives présentant les différentes essences d’arbres locales, les animaux qui résident en ces lieux.

Parce qu’il existe des parcours adaptés au niveau de chacun

Si vous êtes vous-même sujet au vertige, la seule vision de vos enfants perchés dans les arbres à plusieurs mettre du seul pourrait bien vous faire frémir. Mais rassurez-vous, la grande majorité des parcs accrobranches disposent de parcours spécifiquement pensés pour les enfants, d’autres accessibles à partir d’un certain âge et d’une certaine taille, mais aussi différents niveaux de difficulté. Vos enfants pourront ainsi évoluer sur des circuits en adéquation avec leur âge et leur aisance, là encore en toute sécurité.

Parce qu’il est possible de repousser ses limites en toute sécurité

Enfants et adolescents ont parfois une appréciation clairement différente du danger ou des limites en comparaison avec la vision de leurs parents. Parce qu’évoluer en hauteur n’est jamais dénué de risque, les précautions, mesures et équipements de sécurité sont maximaux : casque, baudrier, mousquetons, ligne de vie parfois continue, encadrement, formation… Les enfants pourront ainsi s’élancer sans craintes, dépasser leurs peurs éventuelles. Et pour pourrez vous-même les accompagner, en hauteur ou du regard, sans craindre une chute.

 

Amusant et éducative pour les enfants, l’accrobranche leur permettra non seulement de passer un bon moment, mais aussi de développer leur confiance et leur agilité. En partageant cette activité avec vos enfants, vous aurez l’opportunité de vivre une expérience palpitante, mais aussi un moment de partage et de connexion. Peut importe la raison qui vous mènera vers l’accrobranche, vous aurez l’assurance de passer un bon moment en famille et en pleine nature.

 

 

 


Crédit Photo : flickr – patrick janicek